le rap est ne en jamaique

Enfin justice pour tous nos amis DJ jamaicains qui toastent depuis les sixtie's, qui invnetent, qui riment, qui animent, qui jinglent! merci à bruno blum, bien sur je ne pense pas que ce livre va emouvoir la communaute hip hop mais fallait oser l'ecrire! Du coup dejà dans Bass Culture Lloyd Bradley faisait un détour par le Bronx avec DJ Kool Herc qui venait de quitter sa jamaique natale pour "inventer" le Hip Hop en reproduisant ce qui se passait dans Kingston notamment avec les sound systems renommes les Block Parties.

ouaip, bon! le rap est peut-être né en Jamaïque, mais c'est pas là-bas qu'il a grandi, ni qu'il a fait sa crise d'adolescence

Oui surtout qu'il ne s'agit là que d'un parti pris qui manque sérieusement d'objectivité puisque que comme il le disait dans son précédent livre "Ragga" et le re-dit dans celui-ci, les premiers à parler sur de la musique et à interpeller directement le public sont les Commandeurs de Quadrille...

Donc celon moi, la vraie audace aurait été d'appeler son livre "Le Rap doit tout au Quadrille"!

Pas de couille ce Doc...

et le quadrille vient de la polka "jouée" dans les ghettos de Varsaw en plein 18° siècle...quelle belle histoire la musique tout de même, Ska quadrille, ska quadrille.
NAn zavez raison! Il semble que ce livre soit alourdi par l'exegese de l'ami Blum, mais je trouve interessant qu'on se souvienne des bonnes ondes & idées répandues de cette petit ile de la jamaique sur tout un pan de la musique moderne

Moi, je dois bien avouer que j'ai été dérouté par le style. D'habitude quand je lis du Blum, ce que j'aime c'est ce style plein de désinvolture, et toutes ces anecdotes qui tournent autour de son nombril... J'aime ça, on est pas beaucoup à aimer ça, mais j'assume en tout cas... Bref, ici, c'est pas du tout le cas, c'est un style très universitaire... et donc très chiant... Intéressant ... mais chiant...

ah mince c'est bien plus un hommage a Blum qu'aux DJ pionniers ,alors, si je comprends!!
quoique j'aime particulierement le reggae et reconnait son genie et l'inventivite du mileiu musical jamaicain (certainement du a la debrouillardise) il me semblait tout de même comme évident que les "papas" rappers étaient les "Last poets" qui, dès les sixties posaient des lyrics sur des lignes de tam-tam...?